Interview d'Antony et de Vanessa Meyrueix franchisés PASSTIME Haute-Loire (43)

1) Auriez-vous l’amabilité de nous dire qui vous êtes et de nous expliquer, en quelques mots, votre parcours professionnel jusqu’à la découverte de ce réseau ?

Antony Meyrueix 34 ans, je suis entré dans le monde professionnel à l’âge de 16 ans en débutant par le métier de carrossier peintre pendant 15 ans, par la suite je me suis engagé avec Vanessa à travailler en couple et nous avons tenu en gérance deux supérettes en Auvergne, nous sommes originaires du Gard 30. Nous avons stoppé cette activité, la remise en question sur notre avenir professionnel est de là, nous avons ensuite découvert le réseau Passtime avec la possibilité de continuer de travailler ensemble. Vanessa, 29 ans, était de formation assistante de gestion avant que l'ont se réunissent professionnellement.

2) Par quels moyens avez-vous connus cette franchise et comment êtes-vous entré en contact avec elle ?

Avec Internet, site spécialisé dans la franchise. À partir de là, nous avons envoyé notre candidature par voie postale, quelques jours plus tard, le franchiseur nous a contacté directement.

3) Pouvez-vous nous commenter la rencontre initiale avec le franchiseur et nous dire ce qui a déterminé votre choix pour cette franchise plutôt qu’une autre (ou pour un de ces concurrents) ?

La rencontre s’est bien passée avec les franchiseurs, on a échangé des questions et des réponses mutuellement. Ce concept reste unique dans son intégralité, Passtime et un ingénieux système, qui reste un échange. Pourquoi aller plus loin ?, nous avons eu d’autres contacts mais avec Passtime tous est là, cela nous correspond.

4) Comment avez-vous mis à profit les délais de réflexion prévue par la loi Doubin ?

On est un couple qui réfléchi plutôt deux fois qu’une . On a pris contact avec d’autres franchisés déjà autonomes sur leurs secteurs, le contact a été franc et honnête avec certains, cela permet d’avoir des avis et de finir par admettre qu’il n’y aurait aucune raison que ça ne pourrait pas fonctionner sur notre département. Après ce délai de réflexion on a accordé notre feu vert.

5) Pensez-vous que vous auriez pu réussir aussi aisément sans l’assistance du franchiseur ?

Honnêtement non ! Comme j’ai dis juste avant Passtime est un ingénieux concept dans son intégralité, la magie des arguments est dans notre réseau, cette magie nous permet d’en faire profiter les partenaires et adhérents à qui veut bien l’entendre, tout le monde y gagne (gagnant-gagnant).

6) Est-ce que le franchiseur à respecter tous ses engagements initiaux et est-ce qu’il continue à assumer son rôle ?

Les engagements sont respectés des deux côtés (franchiseurs et franchisés) ! De plus le réseau a explosé ces derniers temps, il faut suivre d’ailleurs ! Il ne reste que quelques secteurs disponibles.

7) Quels outils votre franchiseur a mis à votre disposition lors du lancement de votre entreprise ? Diriez-vous qu’ils ont été suffisants ? Et sinon pourquoi ?

La plateforme est notre noyau, avec un forum de discussion pour toutes les questions que l’on peut se poser elle nous permet de trouver les réponses, sans oublier les audio et contacts téléphoniques avec Caroline la commerciale du réseau et d’autres directeurs de publications.

Le lancement est suffisant, après il faut être conscient que sur le terrain il n’y a pas de lois.

8) À présent que vous êtes en activité, êtes-vous en contact avec d’autres franchisés du réseau ? Et dans l’affirmative comment cela se passe avec eux ?

Oui, nous le sommes, par téléphone ou mail et forum, il ne faut pas oublier que nous sommes un réseau avec nos valeurs et nos opinions ; le contact reste agréable bien sur, c’est important.

9) Qu’est-ce que vous pourriez nous dire au sujet de la formation et de l’assistance dans ce réseau ? En êtes-vous satisfait ? Et sinon pourquoi ?

Comme j’ai pu le dire avant, les mots clés sont là, en formation et par la suite entre nous, et avec les différents outils mis en place comme le fameux mode opératoire.

10) Si vous avez établi un prévisionnel, êtes-vous en conformité avec celui-ci ? Dans le cas contraire, les perspectives de chiffres d’affaires vous paraissent t’elles bonnes malgré tout ?

Un prévisionnel ! Les comptables aiment bien ça, y comprit la notre, mais pour ma part en développant un nouveau concept sur un secteur, sur quoi se fier ? Mise à part un objectif de chiffre, le but reste qu’il soit le mieux possible de toute façon, je pense que dans les premiers temps il faut se faire connaître chez les partenaires et les adhérents, connaître le secteur, la bonne fois est importante et le doute à éviter. Quant au CA l’année n’est pas finie !

11) Diriez-vous, aujourd’hui, que le concept est bien placé sur le marché ? Et est-ce que cela correspond à l’étude que vous auriez pu réaliser en amont ?

Suivant les secteurs la mise en confiance est indispensable il ne faut pas chercher l’arnaque, il n’y en à pas ! Les bons retours il y en a obligatoirement. Pour ma part il reste dommage à l’heure actuelle que les particuliers ne soit pas informés de notre réseau, n’oublions pas que nous avons tous droit aux économies avec le Passtime.

12) Pour finir, accepteriez-vous de vous engager à nouveau avec votre franchiseur si vous pouviez revenir en arrière ? Et si oui, que pourriez-vous dire aux postulants pour les convaincre de signer à leurs tours avec cette enseigne ?

Oui certainement je reste persuadé du concept. Pour la suite de votre question, une fois le concept acquis grâce au franchiseur et son équipe de Perpignan, les postulants on tous les éléments lors de la première formation pour le développement du Passtime, la balle est dans leurs camps. Restant positif du projet et réaliste, ils n’auront cas mettre en place tous cela et l’organiser, il faut rester conscient que nul ne le fera à leur place.