Jean BOURRETTE - Chargé du Développement Commercial et de l’Accompagnement au Démarrage pour le réseau des franchisés Auto’Nettoyage

Je suis Jean BOURRETTE, 59 ans, chargé du Développement Commercial et de l’Accompagnement au Démarrage, pour le réseau des franchisés Auto’Nettoyage, et comme beaucoup de nos franchisés, mon parcours pourrait paraître atypique, alors qu’il est pourtant très réfléchi.
 
Ancien cadre commercial en informatique et marketing, j’ai travaillé pour le compte des grandes collectivités territoriales françaises avec de nombreux déplacements sur le territoire métropolitain et les 4 départements d’outre-mer. J’ai été salarié dans ce précédent secteur d’activité pendant une trentaine d’années, en France principalement, et aussi 5 ans au Canada.
  

J’ai des passions très diverses parmi lesquels les voyages, le modélisme, le bricolage, et, dirons-nous, surtout « la chose mécanique », et c’est ce qui est en lien avec la suite…
Le passage du cap des 50 ans a déclenché chez moi l’envie et le besoin de devenir mon propre patron, mais voilà, après 30 ans de salaria, dans une quasi mono activité, et même si je performais largement à mon niveau, c’était compliqué. Il me fallait aussi choisir un secteur d’activité porteur, car à mon âge je ne pouvais pas subir l’échec d’une reconversion. Concernant le secteur d’activité, le choix était fait depuis un moment en fait, je voulais enfin pouvoir allier ma passion (l’auto et la moto) et mon travail, je voulais donc travailler dans l’automobile, et plus précisément, dans l’esthétique automobile (on m’a toujours traité de grand maniaque…). Mais par où commencer, je ne savais vraiment pas par quel bout le prendre ! Un jour à la télévision, un reportage sur le système des franchises [dans un autre secteur – l’esthétique féminine, comme quoi], me donna une idée, car ça devait exister pour l’automobile. L’idée me plaisait, et elle était parfaitement cohérente, plutôt que de se lancer à l’aveuglette, on payait un franchiseur pour obtenir son expérience, son expertise et son aide. Mon précédent métier m’avait appris qu’il est bien souvent plus économique de payer des prestations et gagner du temps, plutôt que de repartir à zéro.

Lorsque je me suis mis en quête d’une franchise dans l’esthétique automobile, j’en ai sélectionné trois, directement sur Internet, d’après ce que j’avais pu en lire, et qui correspondaient à mes attentes. Très bon contact téléphonique avec la première, beaucoup de renseignements obtenus, mais au moment de vouloir me déplacer pour discuter, pour voir, pour toucher, pour comprendre – sur place – comment cela se passait, je me suis vu répondre qu’ils vendaient juste un concept, mais que c’était à moi de « mettre en œuvre », en suivant le cahier des charges. Petite déconvenue donc, d’autant que le deuxième m’a répondu à peu près dans les mêmes termes, l’aide du franchiseur se « limitait » à un cahier des charges qui coûtait environ 10 000 euros…
 
Heureusement, la troisième fut la bonne ! Vous l’avez bien compris puisque j’y exerce toujours, il s’agit de Auto’Nettoyage. Deux mots pour situer la franchise, Auto’Nettoyage propose du nettoyage et de la préparation automobile, plutôt orientée haut de gamme, chez les professionnels (concessionnaires) et particuliers, avec un concept totalement autonome et clé en main : un camion tout équipé et proposé 100% en location, associé à une solide formation et un accompagnement permanent. L’investissement de départ est donc réduit, et le risque pour le franchisé, limité. Il y a aujourd’hui 22 départements français dotés d’une franchise Auto’Nettoyage.
 
Lors du premier entretien téléphonique, et après la prise de renseignements initiale, on m’a dit cette fois « merci pour cet entretien, nous vous envoyons un peu de documentation, des chiffres, des exemples, les contacts des franchisés déjà en place, regardez ça à tête reposée et si c’est ça que vous cherchez, il faut nous rencontrer ». Ah ! C’était déjà une meilleure approche pour moi. J’y ai donc été (le siège est proche de Saint-Etienne), j’ai pu rencontrer le boss, Rafael ROME, qui m’a présenté le bébé qu’il avait créé voilà 15 ans à l’époque, les gens qui travaillaient pour lui, l’outillage, la méthode, et surtout, le métier ! Nous avons été ensemble chez un client chez qui ses gars travaillaient, j’ai pu tout voir, en toute transparence. Je vous contracte un peu le temps (…) je suis devenu franchisé Auto’Nettoyage en Avril 2018, j’étais enfin mon propre patron, je travaillais pour moi, j’avais mon camion entièrement équipé, ma belle tenue Auto’Nettoyage, j’avais eu une solide formation, et j’étais accompagné quasiment au quotidien pour mon démarrage, j’étais HEU-REUX ! J’avoue que j’ai baissé un peu mon salaire, des 5 000 à 6 000 euros mensuels que je gagnais auparavant, je suis passé à 2 500 / 3 000 €, mais je bossais pour moi, à mon rythme, comme je le voulais, et je n’avais de comptes à rendre à personne. Lorsque j’avais des félicitations et recommandations de mes clients, elles étaient pour moi et pour mon travail, ça a été de merveilleuses années et ça a très bien marché. A tel point qu’en 2024, et devant l’extension que prenait le réseau Auto’Nettoyage, Rafael, le boss, a eu besoin d’aide pour réaliser le développement et l’accompagnement du démarrage des nouveaux franchisés. Il m’a alors proposé de le rejoindre, nous avons trouvé un repreneur pour mon activité de franchisé ici localement, et j’ai intégré le siège, dans le métier que je fais dorénavant.
 
Voilà ma petite histoire, les nouveaux franchisés d’Auto’Nettoyage ont droit à un accompagnement réalisé par un ancien franchisé, qui connait donc parfaitement leur futur métier, la boucle est bouclée !

Nos franchisés ont chacun leur histoire, un grand nombre sont en reconversion, pour d’autres c’est leur première activité, certains travaillent seuls dans leur camion, d’autres ont 2 camions et 3 salariés, dans la plus grosse agence, à Saint-Etienne, 5 camions et 10 salariés partent travailler chaque matin. Chaque franchisé gère son business comme il l’entend, à son rythme, et en fonction de ses objectifs, mais le franchiseur est toujours là pour l’accompagner. Quand le franchisé gagne de l’argent, le franchiseur aussi, et pour que le franchiseur gagne de l’argent, il faut que le franchisé en gagne, c’est tout simple, c’est un travail d’équipe, même à ce niveau-là.
 
Comme dit précédemment, il y a aujourd’hui 22 départements français dotés d’une franchise Auto’Nettoyage, et les objectifs de développement restent volontairement modestes car nous souhaitons impérativement pouvoir les suivre de très près. Actuellement, nous sommes sur un rythme de 6 nouveaux franchisés par an, de sorte de nous donner les moyens d’accompagner leur démarrage au mieux en prenant le temps nécessaire. Installer un franchisé chez nous est très prenant, et nous ne voulons rater aucune étape. Il bénéficie de 4 semaines de formation sur le métier et d’une semaine d’accompagnement commercial sur le terrain une fois installé, pour l’aider sur ses premiers contrats. Tous les 6 mois ensuite, nous lui apportons un nouvel accompagnement commercial (nous allons démarcher ensemble), directement sur son secteur. C’est donc toujours une vraie présence physique qui est assurée, et nous voulons qu’elle soit fructueuse à chaque fois.
 
Chaque franchisé a un outil de travail formidable et unique dans ce secteur d’activité. Nous ne lui donnons pas des conseils pour aménager son camion, il n’a pas de cahier des charges à suivre pour son équipement, il loue, tout simplement, un outil de travail clé en main. Il y a tout, camion, outillage, produits, renouvellements des produits, outil de facturation, outil comptable, tout, c’est ce qui fait notre force.
 
Cet outil de travail justement, le fameux camion, reconnaissable entre mille avec sa voiture de sport jaune sérigraphiée sur le côté et sa touche humoristique à l’arrière, est entièrement développé chez Auto’Nettoyage, ce qui nous permet une réactivé très courte. Nous disposons de plusieurs outils uniques sur le marché, comme une grosse machine vapeur développée en interne et nous permettant de nous attaquer aux engins industriels, au secteur du transport public, etc.). Nous avons aussi des outils et produits autonomes et tout à fait inédit, comme le produit auto-séchant, dont même certains concessionnaires ne disposent pas. L’aménagement, les matériels et outils sont soigneusement sélectionnés pour répondre à toutes les problématiques du métier. Notre camion autonome est réellement notre grande plus-value, c’est indéniable et reconnu. Il est renouvelé par un neuf tous les 5 ans.
 
Il faut dire que le secteur automobile traverse actuellement des crises et c’est finalement très bien car cela fait un tri naturel parmi les prestataires. Seuls les meilleurs restent, et comme je le dis souvent lorsque je réalise les accompagnements, nous voulons être évalués sur nos résultats, pas sur notre belle documentation ou des prix « cassés ». Quand on a goûté à la qualité Auto’Nettoyage, on ne peut plus s’en passer !
 
C’est une formidable activité, très diversifiée, ouvertes aux hommes comme aux femmes (si si, il y en a parmi nos franchisées), aux jeunes comme aux moins jeunes, dans laquelle il y a possibilité de s’éclater et de très bien gagner sa vie, en toute autonomie.
 
Chez nous, chaque franchisé gère son business comme il l’entend, à son rythme, et en fonction de ses objectifs, mais le franchiseur est toujours là pour le conseiller et l’accompagner. Franchisé et franchiseur prospèrent toujours en parallèle, toujours.