Actualité de la franchise Ulysse : employeur de retraités

Créé en 1996 et développé en Réseau de franchise, dès 1999, Ulysse compte aujourd’hui plus de 3000 chauffeurs – accompagnateurs, circulant, chaque jour, dans des véhicules portants les couleurs de l’entreprise. La plupart du temps, le profil de ces conducteurs est assez varié : du retraité, souhaitant cumuler un salaire ainsi que leur pension, au jeune s’insérant dans le monde du travail.

Pour petit rappel

L’intégralité de nos chauffeurs – accompagnateurs sont formés et accompagnés par êtres formation, une association loi 1901, service créé par Ulysse. Le but ? Proposer un encadrement complet, pour permettre à chacun des participants de connaître les bases des gestes et bonnes pratiques à adopter, lorsque l’on transporte une personne à mobilité réduite.
Un concept qui séduit de plus en plus de seniors, désireux de se sentir socialement utile, tout en continuant d’exercer une activité professionnelle.

Des chauffeurs au profil bien défini…

En 2015, ils étaient plus de 16 millions de français à être retraités, selon l’Insee. Chez Ulysse, nous cherchons également à les intégrer ! « En effet, nous engageons régulièrement des conducteurs, à temps partiel, ce qui leur permet d’obtenir un complément de retraite non négligeable », explique Cynthia Cappellacci, Agent d’Exploitation Nice « ainsi, ils entament un nouvel emploi, puisque, pour la plupart, il s’agît d’une sorte de deuxième carrière, qui leur permet de s’épanouir et de continuer à entretenir une vie professionnelle active » poursuit-elle.

C’est le cas notamment de Marie, 68 ans, qui travaille chez Autonomia, à Saint Orens de Gameville, Franchisé Ulysse HAUTE GARONNE – Agence de Toulouse. Embauchée pour un contrat de 18h par semaine, soit 72, au total, sur un mois, cette doyenne explique s’être reconvertie pour des raisons financières. En effet, anciennement secrétaire de mairie, la conductrice perçoit, par le biais d’Ulysse, un complément de retraite lui permettant de s’épanouir, de sortir avec ses amis, d’aller au restaurant, de payer son transport… « C’est réellement une question de moyen » explique-t-elle, au micro de France 2, lors d’une interview sur les retraités à la fois salariés.