Témoignage de Thierry Chandouineau franchisé illiCO travaux Cysoing

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Témoignage de Thierry Chandouineau franchisé illiCO travaux Cysoing

Thierry Chandouineau a intégré les rangs d'Illico Travaux à Cysoing en 2007. L'entrepreneur a accepté de répondre à nos questions sur son parcours auprès du réseau de courtage en travaux, dressant le bilan de près de 9 ans d'activité.

Avant de rejoindre illiCO travaux, vous avez été militaire, avant de devenir salarié du groupe Décathlon. Pouvez-vous nous en dire plus sur ce parcours un peu hétéroclite ?
C'est un parcours de vie, le choix de me renouveler ! Comme je suis issu d'une famille de militaires, j'ai été porté un peu "naturellement" vers la carrière de militaire, avant de prendre la décision de me réorienter, parce que j'avais envie de faire d'autres choses et d'aller dans le secteur civile, que je ne connaissais pas. 
Or, lorsqu'on est militaire on fait beaucoup de sport, donc, toujours naturellement, j'ai été voir une enseigne dans ce domaine, Décathlon. J'y ai passé 16 ans, au cours desquels j'ai exercé différentes fonctions en magasin, et beaucoup en centrale. J'ai été chef de produit en centrale en fin de carrière, et c'est à ce moment que s'est manifestée l'envie d'être indépendant, de créer quelque chose. Mes missions chez Décathlon m'intéressaient moins, je ne trouvais plus ce qui m'intéressait dans l'entreprise. Quand l'occasion s'est présentée de devenir indépendant, je l'ai donc saisie.

Pourquoi avoir choisi la franchise et Illico Travaux ?
A l'origine, je n'avais pas choisi la franchise, mais le bâtiment. D'ailleurs, je pense que quelqu'un voulant intégrer une enseigne de courtage en travaux comme Illico doit déjà être intéressé par l'univers du bâtiment : ce n'est pas par défaut qu'il faut se lancer sur ce marché.
J'avais donc envie de me lancer dans le bâtiment car j'ai toujours travaillé sur des choses assez concrètes, et j'aime bien les rapports humains que ce secteur implique. De plus, en 2006, avant la crise, c'était encore un marché porteur. J'ai donc ciblé le bâtiment, et quand j'ai quitté Décathlon, j'ai suivi une formation de métreur conducteur de travaux, pour mieux appréhender ce marché que je ne connaissais pas du tout. A 45 ans je suis retourné sur les bancs de l'école, et pendant un an et demi, j'ai retravaillé.
L'idée était ensuite de racheter ou créer une société de bâtiment. En fin de compte, c'est l'un de mes amis qui s'est rendu au salon Franchise Expo en 2006 qui a rencontré l'équipe d'Illico Travaux, et qui m'a parlé de ce "nouveau" concept, puisqu'à l'époque ce n'était que le début du courtage en travaux. J'ai trouvé cela intéressant, et je me suis donc rendu au siège pour rencontrer Nicolas Daumont. Ça a fait tilt, je me suis dit que c'était un métier qui m'irait bien, car c'est une activité qui concerne le bâtiment, ce que je voulais, mais qui reprend quand même beaucoup de compétences et de choses que je faisais avant.
Je n'ai pas rencontré d'autres réseaux, et je ne suis même pas sûr qu'à l'époque il en existait beaucoup ! J'ai eu un très bon feeling, car je sortais de Décathlon où la moyenne d'âge était assez jeune, avec une équipe dynamique qui imaginait 200 idées à la seconde : c'est une chose que j'ai retrouvée en venant chez Illico, avec une dynamique de développement tout aussi motivante. Si je n'étais pas tombé sur ce genre d'équipe, le concept m'aurait peut-être moins intéressé.

Comment avez-vous été accompagné dans votre activité ?
Au début j'ai suivi une formation, avec un peu d'accompagnement. Mais je crois qu'aujourd'hui, les nouveaux franchisés sont beaucoup mieux suivis qu'autrefois : c'est normal, il fallait que le réseau fasse ses armes. Mais déjà à l'époque j'ai été accompagné dans la prise en main de l'outil informatique, dans la connaissance des spécificités, surtout juridiques, de notre métier, et puis j'ai bénéficié d'une formation commerciale. Quand je suis arrivé, on ne faisait pas encore de suivi de chantier, mais maintenant, les nouveaux arrivants ont aussi une formation dans ce domaine.

Pouvez-vous nous parler un peu de l'esprit réseau au sein d'Illico Travaux ?
La première chose qui me vient à l'esprit, c'est qu'il s'agit vraiment de la création de Nicolas Daumont, et qu'il y tient énormément. Il y a un discours d'égal à égal avec les courtiers, sans paternalisme, mais en ce qui concerne le concept, c'est vraiment une chose à laquelle il tient énormément, et il est toujours très très engagé dans Illico Travaux. C'est important, et ça me plait beaucoup.
La deuxième chose, comme je viens de le dire, ce sont les échanges d'égal à égal. C’est-à-dire que les gens de la direction d'Illico Travaux ont bien compris qu'ils avaient face à eux des chefs d'entreprise : et il n'y a pas de rapport de subordination entre le franchiseur et le franchisé ici. Et puis c'est devenu un échange assez régulier, on se voit quand même 4 ou 5  fois par an à des réunions régionales et nationales, on les a au téléphone régulièrement. Il y a vraiment des échanges.
Pour moi, quelqu'un qui veut rentrer dans une franchise doit vouloir être indépendant, et c'est vraiment une réflexion à avoir pour quelqu'un qui veut une reconversion. Mais il faut avoir aussi l'esprit d'équipe. Cela permet de faire évoluer le concept : on n'est pas là pour subir, on est aussi acteur du développement. Pour moi, tous les franchisés sont acteurs du réseau, en remontant des informations, en faisant mûrir l'enseigne. 
Et, de manière  transversale, je pense qu'il est également très important que les courtiers échangent entre eux. Les différents courtiers d'une région doivent se réunir, manger de temps en temps ensemble, échanger des conseils… Il y a vraiment un esprit d'équipe à avoir, sinon ça ne sert à rien !

Au bout de bientôt 9 ans d'activité, quel bilan dressez-vous ?
Pour l'instant, je n'ai pas d'autres projets, parce que je cherche à consolider mon affaire. Nous avons un concept qui a beaucoup évolué, et subi une crise que tout le monde a subie dans le bâtiment : ce n'est pas une découverte, nous avons eu quelques années très difficiles. Et cela a donc eu la conséquence de bloquer un peu le développement : on part, il y a 10 ans, avec l'envie d'ouvrir 2 ou 3 agences, et puis quand la crise arrive, il n'y a pas forcément le chiffre d'affaires qui permet de se développer comme on l'avait imaginé. C'est la vie, c'est normal. En revanche, ce qui est important, c'est de bien faire les choses et de stabiliser son concept.
La deuxième chose, c'est qu'Illico a bien évolué dans son offre, donc vient aujourd'hui le temps de redévelopper le réseau avec ce concept qui est désormais abouti à 99%. Le métier de courtier est très jeune, il a 17 ans : c'est normal qu'il évolue, qu'il change, qu'on se pose des questions, qu'on revienne en arrière, qu'on avance. Mais maintenant le modèle est bien abouti. Mon objectif personnel est donc de bien stabiliser, et c'est le cas aujourd'hui, il n'y a pas de souci. Du coup, je ne m'interdis pas, bien au contraire, de développer mon activité en ouvrant une deuxième agence avant de partir à la retraite dans quelques années !

Quels conseils donneriez-vous à un porteur de projet souhaitant rejoindre Illico Travaux ?
Tout d'abord, il faut avoir la volonté de réaliser quelque chose en indépendant. Le plus gros risque, je trouve, c'est, en voulant changer d'activité, de devenir indépendant par défaut. C'est risqué, car être indépendant est plus stressant qu'être salarié : pas de salaire qui tombe tous les mois, l'argent qui ne rentre pas, etc. Il faut vraiment que ce soit un choix, et ne pas subir ça.
Ensuite, pour rejoindre un réseau comme Illico Travaux, il faut avoir l'envie de se lancer dans le bâtiment. Sans être un expert, il faut avoir le goût de ça, ce n'est pas un choix anodin.
Enfin, il faut répondre au profil d'Illico, qui a la particularité de faire du suivi de chantier. Il faut avoir une certaine connaissance et une appétence pour le côté technique, appréhender le fait de devoir manager les entreprises, et avoir une capacité commerciale, parce qu'il faut aller chercher les clients.
En résumé, il faut donc vouloir être indépendant, tout le monde n'est pas fait pour ça ; avoir un profil commercial, parce que derrière il faut aller chercher le client, ne pas rester dans son coin ; et avoir des bases qui peuvent ensuite s'approfondir sur la technique du bâtiment. Et il faut y aller sereinement, aller voir, se renseigner : tout se fait naturellement, il ne faut pas non plus s'en faire un monde !

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